Lors des équipes de suivi de scolarisation, ou lors de votre demande auprès de la MDPH, il peut être utile d’expliquer pourquoi il est nécessaire qu’un codeur intervienne dans la classe de votre enfant. Vous trouverez dans cet article des arguments mettant en relief les possibles difficultés de votre enfant, l’intérêt du code en ce cas et les références législatives utilisables.


Sauf cas particuliers, la présence d’un AVS ou AESH auprès d’un élève sourd ne répond pas à ses besoins de mise en accessibilité de la langue d’enseignement. La formation de ces personnels ne leur donne pas les compétences d’un codeur en LfPC. Voici quelques arguments explicatifs et législatifs permettant de contester une notification d’attribution d’AVS ou AESH en réponse à une demande de codage scolaire.


La présence d’un codeur en LfPC en maternelle peut se révéler essentielle, cette période scolaire étant déterminante pour la construction linguistique. Mais certains ont tendance à penser que ce n’est ni indispensable ni urgent. Vous trouverez dans cette fiche un certain nombre de contre arguments opposables.


Votre enfant est accompagné par un codeur en LfPC en classe. Mais son temps de présence vous semble insuffisant. Cette fiche vous propose des pistes pour évaluer les besoins de votre enfant et des arguments d’ordre pédagogique ou psychologique pour les faire valoir, selon le support d’emploi du codeur.


Les élèves sourds peuvent être confrontés à des difficultés ou impossibilités de réception des messages oraux en classe. Quelques situations concrètes permettent d’expliquer les besoins d’adaptations ou d’aménagements en ce cas attendus des enseignants.


Les compléments d’AEEH sont destinés à compenser les frais directs ou indirects liés au handicap de l’enfant. Voici une liste des différentes situations possibles en cas de surdité qui peuvent ouvrir le droit à un complément, à quelles conditions et selon quelle procédure de déclaration.


L’emploi d’un codeur en LfPC par la famille peut être financé par un complément d’AEEH. Mais certaines MDPH refusent cette possibilité. Voici une liste d’arguments législatifs pouvant aider à obtenir une réponse positive en ce cas, utilisables notamment lors d’une demande de recours.


Le taux de handicap attribué par la MDPH, sur la base d’un guide barème, conditionne l’ouverture d’un certain nombre de droits. Voici les raisons des litiges fréquents en ce domaine et les procédures possibles pour remettre en cause une décision qui vous semblerait injustifiée, après vous être assuré de la légitimité de votre revendication.


Les frais liés à des stages de formation à la LfPC peuvent être légitimement pris en charge via l’attribution d’un complément d’AEEH. Mais certaines MDPH refusent cette possibilité ou la limitent de façon importante., notamment pour ce qui concerne les stages d’été organisés par l’ALPC. Il convient en ce cas de mettre en avant un certain nombre d’arguments très précis susceptibles de lever les obstacles.